30.10.18
29.10.18
28.10.18
Selon Nahema Hanafi, maîtresse de conférences en histoire moderne et contemporaine à l’université d’Angers, “si de gros seins ont pu signifier du temps des nourrices mercenaires une certaine opulence et le gage d’une bonne nourriture de l’enfant, ils renvoient aussi à cette forme de déséquilibre corporel qui ne saurait être celui des femmes de la bourgeoisie, et de l’aristocratie sous l’Ancien régime, celles-là même qui n’allaitaient pas afin de se distinguer de toute forme d’animalité ou du vulgaire populaire. La surabondance mammaire symbolise donc un moindre contrôle de soi, comme une forme d’hypertrophie à la fois de la maternité et de la sexualité qui sont rattachées à des femmes des milieux populaires: nourrices, pin-up, travailleuses du sexe, actrices porno…
L’hypertrophie corporelle féminine attire donc, d’un point de vue sexuel, parce qu’elle signifierait une forme de sexualité exubérante, non maîtrisée, comme elle peut servir de ‘stigmate’ lié à la classe sociale”.
source
L’hypertrophie corporelle féminine attire donc, d’un point de vue sexuel, parce qu’elle signifierait une forme de sexualité exubérante, non maîtrisée, comme elle peut servir de ‘stigmate’ lié à la classe sociale”.
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Après avoir écrit ce livre, penses-tu que la sorcière est la solution à tous nos problèmes?
Il y a bien ce côté figure de la dernière chance. Si elle réémerge si fort aujourd’hui, c’est parce qu’on est confronté en même temps à la guerre à l’environnement et à la guerre aux femmes. Aux États-Unis c’est très clair par exemple, avec un gouvernement qui n’en a que faire de l’environnement et qui est dirigé par un prédateur sexuel. Donc les deux thèmes sont de nouveau réunis. Ce n’est pas si étonnant qu’il y ait autant de femmes qui se positionnent comme sorcières face à Trump.
La sorcière synthétise les deux causes, c’est un personnage qui a été éradiqué à une période où par ailleurs a débuté la guerre à la nature.
Mona Chollet, 10.09.2018, Cheek Magazine
Il y a bien ce côté figure de la dernière chance. Si elle réémerge si fort aujourd’hui, c’est parce qu’on est confronté en même temps à la guerre à l’environnement et à la guerre aux femmes. Aux États-Unis c’est très clair par exemple, avec un gouvernement qui n’en a que faire de l’environnement et qui est dirigé par un prédateur sexuel. Donc les deux thèmes sont de nouveau réunis. Ce n’est pas si étonnant qu’il y ait autant de femmes qui se positionnent comme sorcières face à Trump.
La sorcière synthétise les deux causes, c’est un personnage qui a été éradiqué à une période où par ailleurs a débuté la guerre à la nature.
Mona Chollet, 10.09.2018, Cheek Magazine
26.10.18
(...) the only people for me are the mad ones, the ones who are mad to live, mad to talk, mad to be saved, desirous of everything at the same time, the ones who never yawn or say a commonplace thing, but burn, burn, burn like fabulous yellow roman candles exploding like spiders across the stars and in the middle you see the blue centerlight pop and everybody goes “Awww!”
On the Road, Jack Kerouac, 1957
25.10.18
23.10.18
21.10.18
La Dame aux Camélias, Alphonse Mucha, 1896
Moët & Chandon Crémant Impérial, Alphonse Mucha, 1899
Zodiaque, Alphonse Mucha, 1896
Les Saisons, Printemps, Alphonse Mucha, 1896
Les Saisons, Eté, Alphonse Mucha, 1896
Les Saisons, Automne, Alphonse Mucha, 1896
Les Saisons, Hiver, Alphonse Mucha, 1896
Clair de lune, Alphonse Mucha, 1906
8th Sokol Festival, Alphonse Mucha, 1912
Femme avec une bougie allumée, Alphonse Mucha, 1933
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Exposition Alphonse Mucha, Musée du Luxembourg, Paris, France, Octobre 2018
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